wein.plus
Attention
Vous utilisez un ancien navigateur qui peut ne pas fonctionner comme prévu. Pour une meilleure expérience de navigation, plus sûre, veuillez mettre à jour votre navigateur.

Se connecter Devenez membre

Image header

Hubert de Boüard, copropriétaire du Château Angélus à Saint-Emilion, a été condamné à une amende de 60 000 euros, dont 20 000 avec sursis, pour "protection illégale d'intérêts". Il avait été poursuivi par plusieurs châteaux pour avoir manipulé le classement des vignobles de Saint-Émilion en sa faveur - et à leur désavantage.
Au moment de l'élaboration du classement de Saint-Émilion 2012, M. de Boüard et le coaccusé Philippe Castéja occupaient des postes importants au sein de l'INAO, l'autorité nationale des appellations. Parallèlement, M. de Boüard a travaillé à l'Organisme de défense et de gestion (ODG) de Saint-Émilion, où il a occupé un poste à responsabilité. Castéja a été acquitté par le tribunal.
Dans le classement de 2012, Château Angélus a été élevé au plus haut statut de St Emilion - Premier Grand Cru Classé A. En outre, sept autres domaines conseillés ou gérés par de Boüard ont été revalorisés ou ont conservé leur statut. Le Château Trotte Vieille de Castéja est cependant resté en statut B.
Le tribunal de Bordeaux a jugé que les actions de M. de Boüard avaient dépassé le stade du conflit d'intérêts passif, mais n'a pas pu trouver de preuves d'une influence directe. Les parties demanderesses n'ont donc pas obtenu de dommages et intérêts.
Dans une première déclaration, De Boüard qualifie le jugement d'"injustice" et envisage de faire appel.

(al / source: drinksbusiness; photo: 123rf)

Plus d'informations sur le sujet
Desviticulteurs de Saint-Émilion accusés d'avoir "manipulé" le classement d'un grand cru - Les célèbres propriétaires de châteaux risquent jusqu'à cinq ans de prison

dernières news Voir tout

Dernières

Voir tout
Plus
Plus
Plus
Plus
Plus
Plus
Plus
Plus
Plus
Plus

EVENEMENTS PROCHES DE VOUS

PARTENAIRES PREMIUM